61 membres en ligne en ce moment. Rejoignez-les pour progresser avec nos 2402 questions corrigées et expliquées !
Question 79-1 : Suite à une dépressurisation rapide à bord de certains avions équipés de générateurs chimiques d'oxygène, le fait de tirer sur les masques déclenche le débit d'oxygène. ce processus ? [ Obtention catering ]
Ne peut être arrêté.
Les masques à générateurs chimiques d'oxygène doivent pouvoir diffuser de l'oxygène pendant au moins 15 minutes..le débit qui s'en dégage est continu et il n'est pas possible de l'arrêter... 58
Question 79-2 : Après une plongée sous marine avec bouteilles, il est recommandé à toute personne devant effectuer un voyage en avion, de respecter un délai minimum, avec marge de sécurité de ?
24 heures.
La pression de la cabine des passagers est réglée de façon à correspondre à une altitude de 2000 à 2500 mètres. on a donc une sous pression relative par rapport à la pression habituelle au niveau de la mer. c'est pourquoi tous ceux qui se trouvaient auparavant à une moindre altitude traversent encore une fois une décompression. a la suite des séances de plongée, presque tous les tissus du corps sont encore chargés de gaz. la nouvelle décompression en avion peut alors entraîner des conséquences nuisibles pour la santé la formation de bulles de gaz dans le sang...il est donc nécessaire de ne pas plonger pendant 24 heures au moins avant de reprendre l'avion.
Question 79-3 : A l'embarquement d'une escale africaine, un passager de 40 ans présente les signes cliniques suivants maux de tête, confusion, sueurs, nausées et crampes dans les jambes. il vous précise qu'il a joué, de manière intensive, au tennis pendant trois heures le jour même. vous pensez à ?
Un coup de chaleur.
Les signes cliniques de l'intitulé correspondent à ceux de l'état de choc collapsus par vasodilatation lié à un coup de chaleur...les signes du surmenage sont l'apparition de maux de tête, mal de dos, insomnies, respiration irrégulière... quand à la crise de tétanie, elle se manifeste, entre autres, par des fourmillements dans les mains, picotements au niveau des doigts, contractures.....les signes de l'insolation sont notamment une température supérieure à 40°, peau rouge, sèche et une respiration bruyante.
Question 79-4 : En vol, afin de prévenir une otite barotraumatique, il est recommandé ..1 en cas de rhume, de mettre du coton dans les conduits auditifs,.2 de pratiquer la manoeuvre de valsalva,.3 d'utiliser la méthode d'heimlich,.4 de réveiller les passagers endormis, lors de la descente,. ?
2 4 5.
La manoeuvre de valsalva consiste à compenser l'augmentation de pression extérieure sur les tympans en envoyant de l'air qui passe des voies respiratoires supérieures par la trompe d'eustache et permet ainsi d'éviter l'otite barotraumatique...faire déglutir en début de descente permet de compenser l'augmentation de pression extérieure sur les tympans en envoyant de l'air qui passe des voies respiratoires supérieures par la trompe d'eustache.
Question 79-5 : Parmi ces éléments, certains entrent en ligne de compte pour l'appréciation du pouls. choisissez la réponse la plus complète ?
La fréquence, la régularité, l'amplitude.
Pour apprécier le bon fonctionnement de l'appareil circulatoire, il faut prendre en compte les paramètres suivants. la fréquence du pouls nombre de battements par minute au repos.. la régularité pour éliminer un éventuel trouble du rythme.. l'amplitude pouls bien frappé ou au contraire pouls filant...une symétrie et une asymétrie absence de symétrie du pouls sont à rechercher en cas de suspicion de compression d'une artère en comparant la présence des pouls de chaque côté gauche et droit.
Question 79-6 : Chez le bébé de moins d'un an, les compressions thoraciques se pratiquent avec ?
Deux doigts.
Les compressions thoraciques se pratiquent avec deux doigts car le sternum chez le nourrisson est plus souple et la cage thoracique plus petite.
Question 79-7 : Lorsque la compression manuelle se révèle inefficace sur une hémorragie d'un membre, vous devez effectuer un ?
Pansement compressif.
Pour traiter une hémorragie, il faut effectuer une compression manuelle de la plaie pendant 10 minutes, puis si elle n'est pas stoppée, un premier bandage ou pansement compressif, puis un second et seulement en dernier recours positionner un garrot..le garrot ne s'effectue pas en première intention, vous ne devez le faire que lorsqu'un membre a été sectionné..le coup de poing précordial est utilisé pour la réanimation cardio pulmonaire..le point de compression correspond à la compression manuelle, et la question vous dit que cela n'est pas efficace.
Question 79-8 : Concernant les effets liés à l'altitude, on peut dire que ?
à 3500 mètres, la pression partielle de l'oxygène devient inférieure à la pression normale de ce gaz dans les alvéoles et le sang, ce qui entraine une souffrance du cerveau.
A partir de 3500 mètres, on parle de phase de décompensation liée au manque d'oxygène, car effectivement la pression partielle en oxygène de l'air ambiant devient trop basse pour permettre au sang de se recharger convenablement en oxygène..le premier organe souffrant de ce manque d'oxygène est le cerveau.
Question 79-9 : Pour assister un passager présentant une hémoptysie, vous devez disposer du matériel suivant..1 une bouillotte.2 un sac vomitoire.3 une vessie de glace.4 de la glace à sucer.5 de l'oxygène.6 un hémostatique nasal..choisissez la liste du matériel adapté à ce cas ?
2 4 5.
L'hémoptysie est une toux ramenant du sang en provenance des voies respiratoires...le réflexe de la toux est important pour maintenir les voies respiratoires libres et ne doit pas être supprimé par des antitussifs. le sac vomitoire permettra de récupérer le sang rouge et aéré que rejettera le passager pour analyses...la glace à sucer fera profiter de ses propriétés vaso constrictrices au passager. le froid circulant dans l'oesophage va refroidir indirectement la trachée et les bronches par proximité...vous pouvez lui istrer de l'oxygène pour le soulager.
Question 79-10 : Lors de l'examen d'un malade, les premières observations à effectuer sont ?
Sa conscience, sa respiration, son pouls carotidien.
.sa conscience, sa respiration, son pouls carotidien ce sont en effet les premières observations à faire, et ce même si l'intitulé ne spécifie pas que la personne est consciente ou non, c'est la réponse la plus juste...on peut prendre le pouls carotidien ou le pouls radial quand la personne est consciente cela dépend notamment de la situation douleurs aux membres supérieurs/épaules, ou espacement réduit accès difficile à la personne notamment entre des rangées de sièges. le pouls carotidien est le dernier à disparaitre, c'est pour ça qu'il est préconisé pour une personne inconsciente, notamment si on suspecte un arrêt cardiaque.
Question 79-11 : Les effets liés à la sécheresse de l'air sont..1 une sensation de soif.2 une augmentation du volume des urines.3 un risque d'épistaxis.4 un risque de colique hépatique.5 des larmoiements.6 des difficultés à supporter des verres de contact..choisissez la combinaison de propositions exactes ?
1 3 6.
Le taux hygrométrique de l'air en cabine se situe à environ 10% selon l'altitude alors qu'il est d'environ 50% au niveau de la mer en zone tempérée..la sécheresse de l'air favorise le risque de colique néphrétique, mais pas de colique hépatique..l'air conditionné sec favorise l'épistaxis saignement de nez..il est déconseillé de porter des lentilles de contact car elles seront difficilement supportables en vol.
Question 79-12 : Devant un traumatisme crânien sans perte de connaissance, vous devez..1 rechercher une hémoptysie.2 rechercher une épistaxis, une otorragie.3 installer le sujet en position latérale de sécurité.4 noter l'heure de l'accident et les circonstances de survenue.5 demander un déroutement immédiat. ?
2 4 6.
L'origine de l'épistaxis est un saignement de nez et celle de l'otorragie est un saignement d'oreille on pense dans ce cas à une fracture du rocher...il est nécessaire de noter l'heure de l'accident et les circonstances de survenue, le déroutement sera demandé si le sujet perd connaissance. aussi, vous surveillerez le sujet et ferez de nouvelles évaluations de son état régulièrement.
Question 79-13 : A la suite d'une visite prévol extérieure, lors de son passage sous la soute du train d'atterrissage un pnt a reçu quelques gouttes de liquide corrosif du système hydraulique dans les yeux, occasionnant une brûlure oculaire. il remonte à bord et vous demande de le soigner. vous devez ?
Lui rincer abondamment les yeux à l'eau minérale et vous faire relayer par l'équipe médicale de l'aéroport.
Il s'agit d'une brulure, il faut rincer abondamment avec de l'eau minérale, comme une brulure classique, pour éviter qu'elle gagne en profondeur et qu'elle s'étende...agathe l.il est aussi conseillé de faire un pansement occlusif sur l'oeil touché après avoir rincé à l'eau minérale.
Question 79-14 : L'ouverture d'un coffre à bagages entraîne la chute d'une lourde mallette rigide sur tête d'un passager. il reste conscient et vous notez un léger écoulement sanguin en provenance de son oreille. vous devez ?
Surveiller son pouls, sa tension artérielle, sa respiration, sa conscience jusqu'à l'arrivée des secours, lui istrer de l'oxygène et guetter l'apparition des signes d'aggravation.
Il s'agit ici d'un traumatisme du crâne, conséquence d'un choc direct au niveau du crâne..selon son intensité, il peut entrainer des lésions cutanées, osseuses fractures méningées ou cérébrales..une décélération brusque avec un arrêt net de la tête, sans aucun choc sur un obstacle, peut également entraîner des lésions cérébrales, uniquement par l'ébranlement du cerveau contre la boite crânienne..il peut aussi entraîner des des hématomes intracrâniens dont les conséquences sont parfois vitales. une prise en charge chirurgicale précoce augmente les chances de récupération du blessé...ici, le passager est conscient, il présente une otorragie légère, une compression manuelle est inutile. il n'y a pas de détresse vitale apparente...il faut. maintenir la tête en position neutre. mettre en place un collier cervical. istrer de l'oxygène en inhalation. protéger la victime contre le froid ou la chaleur. transmettre un bilan et appliquer les consignes reçues. surveiller attentivement la victime, en raison du risque d'aggravation brutale...on ne va pas appliquer de froid sur sa tête. il n'est pas indiqué de l'installer tête basse avec les jambes surélevées, l'afflux sanguin vers le cerveau pourrait aggraver les lésions.
Question 79-15 : En cas de descente d'urgence d'un avion, due à une dépressurisation rapide, la quantité d'oxygène de subsistance pour alimenter 100% des passagers doit être suffisante pour la durée totale du temps de vol où l'altitude pression cabine est supérieure à ?
15000 pieds en assurant une alimentation en oxygène pendant 10 minutes minimum.
Cat.ide.a.235 oxygène de subsistance avions pressurisés.besoins minimaux en oxygène pour les avions pressurisés 100 % des passagers pendant la totalité du temps de vol lorsque l'altitude pression de la cabine est supérieure à 15000 ft, mais en aucun cas moins de 10 minutes.
~
Droits exclusifs réservés. Reproduction interdite sous peine de poursuites.